Kenya : Soutenons le Grand Séminaire du Christ-Roi

80 000 SÉMINARISTES DES TERRITOIRES DE MISSION LES PLUS DÉMUNIS ONT BESOIN DE VOTRE PRIÈRE ET DE VOTRE SOUTIEN MATÉRIEL…

Les premiers missionnaires catholiques, des Spiritains français, sont arrivés à la fin du XIXe siècle, établissant les premières missions dès 1880, avant même la colonisation britannique. Au cours du XXe siècle, l’Église catholique a fondé de nombreuses institutions qui ont grandement contribué au développement du pays. Après l’indépendance du Kenya en 1963, l’Église catholique kenyane a continué d’être une voix influente dans la société, notamment en promouvant la justice sociale et les droits de l’homme. Aujourd’hui, les catholiques représentent près de 30 % de la population dans un pays comprenant 85% de chrétiens toutes confessions confondues.

Cette foi influe directement sur les vocations.

Grand Séminaire du Christ-Roi, Kenya
Archidiocèse de Nyeri
Au Grand Séminaire du Christ-Roi de l’Archidiocèse de Nyeri, près de 400 séminaristes se préparent au sacerdoce. Malheureusement, près de 50 autres candidats qui se sentent appelés à la vocation sacerdotale par le Seigneur n’ont pas pu être admis faute de moyens financiers du diocèse. La formation des séminaristes requiert une participation active de leur part, notamment en travaillant dans les champs et en élevant du bétail. Cependant, l’inflation au Kenya a entraîné une augmentation du coût de la vie, menaçant l’équilibre économique du séminaire et pesant sur le bon déroulement du cycle de formation.

385 séminaristes se préparent au sacerdoce, mais 49 autres jeunes n’ont pu rejoindre le séminaire, par manque de place. L’augmentation des taxes, l’inflation des produits alimentaires et autres fournitures menacent l’équilibre du budget. Le séminaire élève du bétail, et cultive des légumes, mais une aide est indispensable.

Frère Joseph Onyango, séminariste sur place, témoigne :

Alors que je m‘approche de l’autel du Seigneur, je suis très conscient de ce que vous me permettez d’accomplir sur ce chemin. Votre foi et votre gentillesse m’accompagnent matériellement, bien sûr, et contribuent aussi à élever mon esprit et à renforcer ma vocation. Merci de partager ce chemin avec moi, merci pour vos prières pour avoir cru à mon appel.