Quand les portes du couvent de Lisieux se referment sur elle le jour de la Pentecôte 1887, la jeune Thérèse Martin a déjà l’âme enflammée pour la mission : elle désire « se faire apôtre au Carmel » (Lettre à l’abbé Bellière, le 21 juin 1897). Sous quelle forme ? Elle l’ignore encore mais elle se sait revêtue d’une « force divine » depuis que l’année passée à Noël, le Seigneur lui a accordé une grâce de conversion. Toute sa vie, elle va demander et faire prier pour que le Seigneur augmente en elle « le désir de L’aimer et de Le faire aimer ».
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