4e dimanche de Carême, année A
David reçoit l’onction comme roi d’Israël – 1 S 16, 1b.6-7.10-13a
« Le Seigneur est mon berger :
rien ne saurait me manquer » Ps 22 (23)
« Relève-toi d’entre les morts, et le Christ t’illuminera » Ep 5, 8-14
« Il s’en alla et se lava ; quand il revint, il voyait » Jn 9, 1-41
La parole de Dieu nous met en présence d’un aveugle guéri par le Seigneur, homme devenu lumière. De l’autre côté, des pharisiens aveuglés par leur prétendu savoir, prisonniers de leur passé. La franchise de l’aveugle guéri, homme devenu lumière, et l’aveuglement des pharisiens nous saisissent. L’aveugle de naissance est jeté dehors parce que guéri par lui, parce que l’ordre public, l’ordre religieux ne pouvait accepter cette guérison un jour de Sabbat, parce que cet ordre ne pouvait pas reconnaître le Sauveur.
Est-ce que nous avons le courage de l’aveugle lorsque nous parlons aux pharisiens d’aujourd’hui ? Faisons nôtre cette parole du psalmiste : « je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal car Tu es avec moi ».
Ecouter l’homélie de Mgr Colomb, Directeur national des OPM
